Je vis chaque « aujourd’hui » comme si « demain » n’était qu’un mot.
Car « demain » tu ne seras pas forcement là.
Car « aujourd’hui » tu l’es et c’est la raison pour laquelle je donnerais tous mes « demain » pour n’avoir qu’un éternel « aujourd’hui ».
J’essaye d’écrire chaque « aujourd’hui » comme s’il n’en restait qu’un.
J’essaye d’effacer chaque « hier » comme s’il était perdu.
J’essaye de ne pas penser à « demain » comme s’il signifiait « fin ».
Lorenzo