Plus d’une semaine que le virus n°3 u407 avait ravagé la ville. Plusieurs cadavres étaient allongés par terre. Quelques mètres plus loin, un couple se tenant la main était complètement carbonisé. Je m’approchai du mari. Il tenait un petit bout de journal, je le pris. Il était écrit « nouvelle épicerie à 300 mètres venez nombreux » . C’était les seuls mots qu’on pouvait lire. Je me rendis à l’épicerie qui avait été pillée, brûlée avec des impacts de balles et des taches de sang. Je sortis immédiatement tellement c’était une vraie horreur à l’intérieur. J’aperçus des silhouettes au loin. C’était des jeunes gens qui devaient avoir mon âge, je me cachai quelques minutes plus tard ils étaient là, deux jeunes avec des pistolets est des explosifs. Ils me virent. L’un deux décrocha son explosif et le lança…
Je me réveillai dans mon lit, étalé avec des gouttes de sueur. C’était un rêve.
Maxim